Une future pension de famille gérée par Habitat et Humanisme à Clermont-Ferrand

À la fin d’année 2022, Habitat et Humanisme ouvrira une pension de famille à Clermont-Ferrand. Un bâtiment comprenant 25 logements destinés aux personnes précaires. Le tout dans un bâtiment éco-conçu. Objectif, les aider à regagner en autonomie en termes de gestion de l’habitat.

Le bâtiment de 6 étages prend forme dans la rue Vaucanson à Clermont-Ferrand. C’est ici qu’Habitat et Humanisme Auvergne ouvrira une pension de famille fin 2022. La résidence Le Galoubet comprend 25 logements destinés à accueillir des personnes en très grandes difficultés. Un projet à fort impact social, unique sur la région Auvergne-Rhône-Alpes.

Futur hall d’accueil commun de la future pension de famille Le Galoubet à Clermont-Ferrand (© Thomas Loret)
Vers un retour à l’autonomie

L’accueil se fera dans un cadre de vie « familial » et sécurisant, propice à la reconstruction des personnes. Chaque résident disposera d’un petit logement autonome (30 ou 35 m²) et aura accès aux espaces collectifs. L’immeuble comprendra une grande salle commune avec un accès direct à la terrasse et au jardin partagé, ainsi qu’une buanderie équipée.

Exemple de studio de la future pension de famille Le Galoubet à Clermont-Ferrand (© Thomas Loret)
Un projet social et… environnemental

Un projet aux ambitions environnementales fortes. La structure est en construction mixte bois/bêton. Les murs sont en ossature bois triple isolation. Il y aura aussi du chauffage partiel de l’eau chaude sanitaire par capteurs solaires thermiques. Le bâtiment compte 67 kg/m² de matériaux biosourcés.

Exemple de grand studio de la future pension de famille Le Galoubet à Clermont-Ferrand (© Thomas Loret)
Économies d’énergie et donc de charges

Un bâtiment vertueux qui permettre aux résidents ayant peu de moyens de payer moins de charges. La consommation du Galoubet ne sera que de 45 kWh/m²/an, alors que la moyenne des logements sociaux de Clermont-Ferrand est de 240. Ce qui permettra de réduire très fortement les charges pour les résidents.

Thomas Loret

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