Suite à un changement de prestataire, tous les vélos et toutes les stations C.Vélo de Clermont changent à la rentrée. Le nouveau service sera totalement opérationnel au 1er septembre. Nous avons testé les nouveaux vélos qui commencent à être installés progressivement en ville. Alors, que vaut cette offre totalement remaniée ?
C.Vélo passe à la vitesse supérieure pour la rentrée ! Les vélos en libre-service et les stations de Clermont Métropole font peau neuve. C’est la société espagnole Moventia qui est désormais le nouveau prestataire. D’où ce changement radical.
À terme ce sont 680 vélos flambants neufs qui seront répartis sur les 52 stations présentes sur Clermont Métropole. Des engins un peu plus légers qui pèsent 24 kilos (1 kilo de moins). Ils comptent également 7 vitesses contre 3 auparavant.
Une nouvelle application pour déverrouiller son vélo
Si le principe ne change pas, il y aura tout de même de nouvelles habitudes à prendre. À commencer par télécharger la nouvelle application PBSC pour pouvoir déverrouiller son vélo. Plus question d’entrer un code long comme le bras, on scanne désormais un QR code. Un gain de temps non négligeable, notamment le matin.
Alors, qu’est-ce qu’on en pense ?
Une fois notre nouveau cycle enfourché, on se rend vite compte que les anciens C.Vélo avaient fait leur temps. Meilleures maniabilité, selle plus confortable, passage de vitesse plus intuitif, tout y est ! On ne pédalera plus dans la semoule. Ces C.Vélo nouvelle mouture sont donc une encore meilleure alternative à la voiture. De quoi ravir les 11.000 abonnés.
Thomas Loret

Sinon, un véritable réseau cyclable et sécurisé dans l’agglomération clermontoise, ça donne quoi ?
J’aimeJ’aime
Pas d’accord avec le soi-disant gain de temps avec l’appli : avec mon abonnement annuel, je n’avais qu’à taper directement mon code (qu’on finit par connaître par coeur à force) pour déverrouiller le vélo. Là je dois sortir mon smartphone, ouvrir l’appli, éventuellement me connecter, puis scanner le QR code et ranger mon smartphone.
Sans parler du fait que maintenant un accès internet est indispensable, comment font les gens qui n’ont pas de data ? (100 Mo par mois de mon côté…) Certes ça fonctionne aussi avec une carte de transport, mais il faut en avoir une et elle est payante.
Par contre le retour est lui beaucoup plus rapide, on raccroche le vélo et hop c’est fait. Et c’est vrai qu’on a largement gagné en confort !
J’aimeJ’aime